Fusées
Exemples

m.à j. le : 2-oct-08



Fusée à eau Vairon page 2

Chapitres :

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Connexes :

Flux direct
Flux inversé
Multi réservoirs
Multi étages
Divers
Ailerons
Coiffe
Exemples

 
 

 

 

 

 

 

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“Vairon ”
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Validation du concept :
Croquis :

1 bouteille perrier bleu pour le réservoir
1 bouteille Badoit rouge pour l' ogive terminée par , une balle de ping pong.
Le parachute, placé dans une soute latérale, sera éjecté par un élémentélastique quand la trappe s' ouvrira.

La trappe est maintenue fermée par un élastique retenu par une goupille.

Un système mécanique tire cette goupille à l' apogée.
Dans la situation envisagée ci contre, c' est une radio commande  qui déclenche le servo, qui tire lui même la ficelle ou est attachée la goupille

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Détail de la soute .
A gauche : vue à plat

Un élément en PVC épaisseur ~1mm plié.
Sur les faces supérieures et verticales, on fixe le servo , la pile, et le circuit de réception


La soute, petite,est malgré cela suffisante pour contenir un parachute
(à droite)
Et le "ressort" lui emplit complètement l' espace quand il est déployé
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Réalisation de l' ogive
L' ogive est fermée en partie supérieure par une balle de ping pong
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Dans l' ogive une cale est collée pour servir de butée à la soute parachute qui elle sera amovible par le bas de l' ogive .
La trappe mesure 45mm de haut sur 55mm

Le corps de la fusée

Préassemblage de l' ogive sur le corps de la fusée
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Mécanisme
Le but de cette fusée est d' utiliser un déclenchement mécanique, par radio commande et servo. Mais un mécanisme de jouet peut également assurer la temporisation et l' ouverture de la trappe. Compte tenu de mes finances, et que Pegase ma procuré une "coccinelle", je continue avec ce petit mécanisme.

Principe d' ouverture de la trappe : Le parachute, poussé dans le ressort, et dans la soute est retenu par la trappe, qui elle reste fermée parce que tirée par un élastique retenu par une goupille.
La goupille est retirée, le moment venu. ( voir plus haut, les photos et le croquis )

 

L'alientation électrique se fait à l'aide de 2 pils boutons de 3v montées en série et collées à la pointe de l'ogive

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Réalisation d' un premier mulet

Principe de montage
En rouge les 2 trappes : une pour le parachute et une autre pour accès au mécanisme.
En orange le doigt qui retient l' élastique qui ferme la trappe parachute et qui est commandé par la came grise.
En jaune le ressort qui éjectera le parachute (non représenté)
Le petit mécanisme est fixé à l' arrière de la soute à parachute, vissé sur la partie verticale
Un petit étrier sert d' interface entre le mécanisme qui y est collé et la soute

Le mécanisme démonté. Ici on y voit un excentrique et une came que je retire pour alléger.
La roue, elle aussi sera retirée.

Ce côté du mécanisme sera celui dirigé vers l' extérieur de la fusée. On y trouvera remontoir et verrou.
Sur l' autre côté, les 2 axes seront débarrassés de tout accessoire. Sur la photo ci dessous demeure encore temporairement un petit cliquet

Une partie du mécanisme de la coccinelle qui n' est pas utilisée

 

 

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A la place du cliquet, j'emboîte une des roues détourée qui va me servir de came.
On distingue bien une des 2 vis de fixation sur la soute.
La roue que l' on voit encore à coté du remontoir sera coupée, et en place j' y emboîterai une tige de plastique qui servira de verrou quand je la freinerai. Le frein se fait sur l' axe multiplié, pour plus d' efficacité.
Sur l' axe du remontoir, j'emboîte la roue qui deviendra une came quand j' y aurai percé un trou.
L' autre axe est inutile de ce coté

Le mécanisme placé dans l' ogive derrière la soute parachute.On n' y voit pas encore la goupille qui sera fixée sur la came et qui libérera l' élastique qui ferme la soute.
La découpe que l' on voit à l' arrière de la soute, c' était une autre solution que je n' ai pas retenue.

Vue de profil du mécanisme dans l' ogive
La tige verrou n' est pas encore en place, ni la came.
Pour mettre cela en place, j' ai du découper (à l' arrache) une seconde trappe dans l' ogive Une porte avec3 trous (Goupille, Remontoir et Verrou) la fermera.
Ci dessous, la came et la goupille avant montage dans l' ogive

Le mécanisme complet dans l' ogive, sans la porte de la trappe

 

 

La porte de la trappe Arrière

Le mulet fonctionne bien au sol, quoique.
Le moteur a quelques fois de petits ratés qui peuvent s'avèrer dramatiques à quelques décamètres du sol.

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Réalisation du proto V1

Je reprend la construction d' une ogive propre et le traçage des plans

soute perforéeUne nouvelle soute perforée pour fixer l'omega

(Le plan apparaîtra en survolant l' image )

Mécanisme
Le mécanisme dépouillé du superflu mais complété de la tige frein
Omega perforéUn nouvel omega taillé dans une carte de fidélité. Ici celle du CE Peugeot Citroen :15mm de large .
(Le plan apparaîtra en survolant l' image )
Mecanisme sur Omega
Vérification du bon centrage des axes du moteur / trous dans l'omega
Omega sur soute
Vérification des fixations de l'omega sur la soute

 

 

 

 

 

 

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Détails de la came et du doigt      

Le doigt en position "sorti" retient l' élastique de fermeture de la trappe parachute. q
Quand la came tourne il se retire lentement en se relevant légèrement pour bien assurer la prise, et plaquer la boucle de l' élastique contre la FHP.
A la fin du mouvement le doigt reprend sa position horizontale et s' escamote dans l' ogive, libérant l' élastique.
La position de la came relativement au doigt est à définir. La représentation ci contre place le doigt (en orange) à l' extérieur de la came (manivelle). Position bonne pour des essais, mais qui sera certainement inversée en situation définitive. Ce qui explique la forme tourmentée du doigt. Cette solution imposera un support (vert) plus long du fait de l' éloignement du doigt de la soute

Un nouveau doigt :

Le mécanisme au complet, prêt à être placé dans l' ogive

Le mécanisme fixé sur l' arrière de la soute
   

Le mécanisme dans l' ogive.
Il manque encore le frein

Une goutte de cyano malencontreuse qui coule dans le mécanisme et ça coince , il faut tout remettre à plat

Plusieurs démontages et remontages améliorent la situation  mais l' ogive est ruinée





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Proto V2

Profitant de l' expérience de Vairon V1, j' entreprend une nouvelle ogive V2 avec une bouteille de"St Pierre" versus "Badoit Rouge".
Une nouvelle soute plus haute (64mm)pour me permettre de mieux centrer le doigt du mécanisme au milieu de la trappe (l' ancienne version tirait l' élastique de travers) et y placer mon nouveau parachute tricolore, un peu plus gros
Je supprime la rondelle de calage supérieure et utilise le renflement naturel du corps de la bouteille pour y poser la soute. Ce même renflement rigidifie la porte type "carrossier" (encastrée Vs applique).
La balle de ping pong est collée à la "Sykaflex"  Vs "Super Glue 3" pour essais.


L' ogive vue du côté de la trappe parachute.
La soute est placée à l' intérieur pour vérifier son accostage correct , et l' ouverture est pratiquée dans l' ogive au droit de de celle de la soute (largeur=+ 3mm, hauteur =)

Vue de profil ou l' on voit l' occupation volumétrique de la soute dans l' ogive. Comme sur la vue de gauche on voit également la trappe découpée qui servira telle qu 'elle pour fermer la soute parachute.

Les 3 éléments séparés


La soute, découpée dans une couverture de classeur. Une fois contrainte dans l' ogive, elle plaque parfaitement contre sa surface intérieure et les divers galbes parasites disparaissent.

Plan à venir en survolant la photo


La porte de la soute à parachute avec sa charnière en ruban adhésif armé, et les 2 petites perforations(au dessus et au dessous du trait horizontal) ou viendra s' attacher l' élastique de maintien fermé de la trappe.
Par transparence, le 2 gros trous sont ceux de la face Arrière (voir ci contre) d' où sortiront la commande et le frein du mécanisme. La découpe rectangulaire autour de ces 2 trous permet d' ouvrir temporairement l' ogive pour y placer le mécanisme.

 

 

 

A gauche de la soute on distingue faiblement l' orifice par lequel sortira le doigt de retenue de l' élastique.

Cet orifice sera à élargir et ajuster au mieux au mouvement "bateau" du doigt

Des soutes en vrac.
On n' y arrive pas du premier coup ;-)
(6,49 n' est pas un calibre, mais la masse de cette soute verte)

La trappe arrière avec son scotch de maintien.
On distingue par transparence la soute à parachute (bleue), le remontoir (blanc), le frein (noir) avec sa goupille.
Il manque encore un point d'appui qui viendra coincer cette goupille quand le frein voudra tourner.
Cette goupille sera relièe à la base par un fil, qui la retirera du frein au décollage de la fusée.
On distingue à gauche, l'orifice par le quel sort le doigt

Un gros plan sur l'orifice de sortie du doigt. Il n'est pas très joli car son positionnement premier était mauvais (trop à droite). J'ai préfèré plaquer le doigt contre l'arrière de la soute pour le rigidifier au maximum et élargir la fente vers la gauche .

On voit la soute parachute de profil, et des traces de colles entre celle-ci et l'ogive

Vue de dessus du mécanisme avec le frein et sa goupille.
On distingue le mécanisme par transparence.

Vue de dessous de la soute et du mécanisme. C'est cette partie qui viendra s'appuyer sur le réservoir en Perrier bleu.

La pièce plastique noir que l'on voit à gauche est un support qui au repos, aligne le doigt avec son orifice dans l'ogive

La trappe à parachute. La soue dépasse un peu de l'ogive pour que la trappe vienne s'y appuyer.

Le cylinfre rouge en badoit 0.5l est le ressort qui éjectera le parachute. Il est vissé au fond de la soute. Un élastique avec un anneau y est attaché pour y passer l'émerillon agraffe du parachute. Le petit trou tout seul est une erreur.

Sur la trappe de l'ogive qui vient fermer la soute est fixé un élastique dont l'autre extrèmité sera retenue par le doigt. La petite piece metallique à 2 trous est à améliorer
Vue sur la charnière de la trappe à parachute réalisée en scotch armé
Vue de dessus de l'ogive, coté soute à parachute. La trappe est entrouverte
Vue du frein (v1)

une bande de Badoit rouge a remplacé le scotch.
La goupille qui retiend le frein et sera retirée au decollage est retenue par le petit volet collé de Badoit rouge
Ci dessous un détail  de la pièce qui coulisse sur le doigt.

Après essais et chronomètrage, il parait évident que la temporisation est insuffisante. J'ajoute un petit ralentisseur qui amènera à un déclenchement  s'approchant davantage de l'apogée

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TestS

                et une petite vidéo au sol

        Avec cette FHP   > 170m d'altitude à une pression de 8b
ATTENTION : 170m sont les indications certainement faussées de l'altimètre
Mort de vairon

Fin de Vairon à Senlis 2008. Le parchute humide ne se déplie pas et la fusée bien que ralentie par la trappe ouverte se crasche.
Voilà ce qu'il en reste et son autopsie

La pluie avait mis sa peinture à mal, mais le choc finall'a achevée


La pointe de la coiffe consistait en une balle de ping pong collée à la sykaflex. Elle a remarquablement résistée, aux bosses près


Un aileron s'est brisé, mais les emplantures à la superglue 3 ont parfaitement resisté

 

Autopsie


Les diffèrents composants


La soute s'est craquelée, le collage du mécanisme a laché. Le frein aéro a été arraché


Le mécanisme est indemne, et fonctionne sans accoup.... inespèré!..

L'altimètre qui fonctionne encore
Vue extérieure
Vue intérieure
La pièce en elle même

Une nouvelle "Vairon" V3"  ICI

 

 

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